La Turquie 7e pays où il fait bon vivre : tableau social

La Turquie 7ᵉ pays du monde où il fait bon vivre

1- La Turquie 7ᵉ pays du monde où il fait bon vivre

La Turquie 7ᵉ pays du monde où il fait bon vivre selon une enquête de HSBC en 2019. Voici le tableau de bord social de ce pays à cheval entre l’Europe et l’Asie. Grâce sa diversité et sa magie la Turquie conquiert le cœur de ses visiteurs.

La Turquie est le pays qu’on quitte et qui nous ne quitte jamais. Il s’agit du 7e pays au monde où il fait bon vivre, éblouit par son charme beaucoup de ses amoureux qui reviennent pour s’y installer. La Turquie ce pays où i fait bon vivre attire plus d’expatriés à atterrir dans cette terre d’Asie mineure. Une enquête récente de HSBC le classe 7ᵉ meilleur pays ou vivre 2019.

Nous allons voir comment ce pays a pu occuper ce rang. Comment il est passé de la 22ᵉ place en 2018, à la 7ᵉ dans le classement des pays où il fait bon vivre 2019.

La Turquie est un pays qui offre bien plus que l’accueil chaleureux ou de l’hospitalité cordiale. Le pays offre encore plus que le comportement « professionnel » des hôteliers, restaurateurs, propriétaires de café et petits snacks.

L’attitude non agressive et l’intérêt que porte ces gens pour soigner l’apparence  des différents établissements touristiques, même dans les endroits perdus sont les quelques secrets de la réussite du tourisme en Turquie et précisément  dans la Riviera Turque.

L’Anatolie ne séduit pas uniquement le touriste, même l’expatrié y trouve son bonheur.

Déjà classé par le groupe HSBC en 2019 ; le 7éme pays ou il fait mieux vivre au monde, en terme de qualité de vie et de travail pour un expatrié. Dans ce rapport annuel, Singapour a été détrôné de sa première place par la Suisse.

Pour voir le classement des pays où il fait bon vivre 2019 :

Le rapport d’enquête HSBC
Meilleur pays où vivre 2019

L’Anatolie et sa Riviera Turque ont  toujours charmé les visiteurs et résidants par leurs beautés  et par la magie qui émane des sites féeriques.

Les belles plages des côtes méditerranéennes et égéennes sont particulièrement appréciées  par les visiteurs et les expatriés.

2- La Turquie 7ᵉ pays du monde où il fait bon vivre : tourisme médical

Tous les expatriés doivent adhérer à une assurance santé, qui est considérée, l’un des documents requis pour bénéficier d’un permis de travail ou de résidence.

En matière de santé le pays dispose d’hôpitaux privés dotés de technologie de pointe dans le domaine de diagnostic et de soins, notamment la chirurgie robotique et la chirurgie laser.

La Turquie a encouragé la promotion du tourisme médical, ce qui représente un taux de remplissage des hôtels même en basse saison. Afin d’assurer la promotion de leur établissement à l’étranger, certains hôpitaux ont créé des packages complets qui comprennent : vol, soins et séjour.

Huit destinations étaient ciblées par ce projet de tourisme médical : Ankara, Istanbul, Izmir, Mugla, Antalya, Bursa, Manisa et  Gaziantep. Ces villes disposent d’atouts qui les rendent des villes  touristiques et thermales.

Oludeniz

3- La Turquie 7e pays où il fait bon vivre : tableau social

La Turquie se positionne parmi les pays ou on respire un air de liberté ou s’amalgame les voix des muezzins pour l’appel à la prière avec le bruit des DJ dans les bars à tapas, dans une harmonie qui rappelle la laïcité.

3-1-  Les droits de la femme

L’égalité des sexes en Turquie a été proclamée en 1926, ainsi la loi a interdit la polygamie et reconnu le divorce

Depuis 1934 la femme Turque a bénéficié de son droit au vote, en 1935 on comptait déjà 18 députées femmes. Ce droit n’a été donné aux femmes françaises qu’à partir de 1944.

L’italienne l’avait obtenu en 1945, soit un an après, en  Suisse c’était en 1971. Pour la femme marocaine, c’est en 1963 qu’elle a déposé son bulletin de vote dans les urnes.

L’aéroport d’Istanbul (Sabiha gokçen), porte le nom de l’une des premières femmes au monde qui a piloté un avion de chasse ; il s’agissait de la fille adoptive de Mustapha Kemal Atatürk.

Les femmes turques vont vous surprendre par leurs élégances et coquetteries. Une femme risque de se faire harceler partout dans le monde, chose que je n’ai jamais remarqué à Istanbul, les femmes ne se font pas complimenter ou injurier par les machos.

Mustafa Kemal Atatürk

3-2- En famille ou entre amis

Les turcs sont de bons vivants. Les sorties en famille sont le mot d’ordre.

Les fins de semaine, les familles turques envahissent les jardins publics et les corniches ; ceux qui font des grillades, qui prennent leur çay (thé turc) ou ceux qui se ressourcent au milieu de la nature.

Mangal ou le barbecue en pleine nature

Même dans les grandes métropoles,  comme Istanbul et ses 15 millions d’habitants, la nature ne manque pas. Chaque quartier où belediye s’est doté de ses parcs et endroits pour le fameux pique-nique de fin de semaine, les barbecues sont présents dans tous les parcs publics et les forêts aux alentours, on achète sa viande (sur place) et on est servi; la table et le barbecue sont inclus.

Les stambouliotes ont l’avantage d’avoir une chaine de restaurants gerés par les belediye . Ils sont situés dans des endroits qui offrent des vues magnifiques, à proximité de la nature ou de la mer. Ces restaurants sont devenus des coins paisibles et charmants , à la portée de tout le monde.
En 2020, 18 établissements sociaux fournissent des services de restauration, organisent des réceptions et des fêtes de mariage .

L’une de mes meilleures expériences barbecue, je l’ai passée à Izmir, c’est une promenade en Téléphérique qui vous permet d’atteindre en altitude un agréable parc (Müdürlügü), qui représente l’une des attractions touristiques très appréciées par les locaux et visiteurs.

Le parc est équipé d’aires de jeux pour enfants, un restaurant self-service qui permet à ceux qui  désirent de passer une journée en pleine nature, d’acheter sa viande et la faire griller sur place.

4- Transport public

Le tramway historique d’Istanbul

Le réseau de transport public en Turquie est l’un des plus développés au monde. Dans plusieurs villes une seule carte rechargeable suffit pour bénéficier de différents moyens de transport ; routiers, maritimes, ferroviaires, aériens (téléphériques) et dans quelques villes le fluvial est de coutume.

Touristes et expatriés trouvent leur bonheur en se déplaçant dans les villes turques, quelques moyens de transports comme le téléphérique ou le ferry permettent de joindre l’utile à l’agréable en vous procurant la sensation d’être toujours en vacances.  

Un parc de bus très confortable assure les liaisons interurbaines, les grandes compagnies de bus comme  Pamukkale, Metro tourism ou kamil koç,

sont connues par leur ponctualité et services à bord : café, thé, eau et biscuits sont inclus dans le prix du billet.

5- Culture et enseignement

Dans son rapport de 2019, l’institut statistique de la turquie (TÜİK), a publié que le pays dispose de 32 411 bibliothèques, dont la plus grande a été officiellement inaugurée à Ankara en 2020, elle a une capacité d’accueillir 5 mille personnes.

Cette œuvre culturelle fournira aux lecteurs 4 millions oeuvres imprimées, toute provenance confondue en 134 langues et plus de 550 mille e-livres.

La grande bibliothèque d’Ankara
Idée originale

Toujours dans la capitale turque, un groupe d’éboueurs transforme les locaux d’une usine abondonnée en bibliothèque, un travail acharné qui a duré 7 mois, pour recuperer 4750 ouvrages des ordures.  

6- Système educatif

Nombreux sont les étudiants qui rêvent de poursuivre leurs études supérieures en Turquie. L’année universitaire en Turquie est divisée en 2 sessions + une autre optionnelle.
1- La session d’automne : de septembre jusqu’au mois de février
2- Celle du printemps : de février à juin.
3- La session d’été est facultative : de juillet à août

L’enseignement supérieur en Turquie est assuré par des établissements  supérieurs privés ou appartenant à l’état.

Le Bachelor ou Lisans Diplomasi en turc, représente le premier cycle et il dure 4 ans.

Le Master appelé en turc Yuksek Lisans Derecesi), constitue le deuxième cycle.

Toutes les universités sont sous la tutelle de l’institution autonome (YÖK).

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